Puisque le réseau IMA est dynamique, on pourrait anticiper que le retrait d’un très petit nombre de compteurs n’aurait pas d’impact. Toutefois, le nombre de clients refusant l’installation d’un compteur de nouvelle génération n’est pas le seul critère qui permet d’évaluer l’impact sur la topologie du réseau maillé.

Ainsi, en région urbaine, la concentration d’équipements est telle que le réseau pourrait absorber le retrait d’un plus grand nombre de compteurs de nouvelle génération avant que la topologie ne doive être revue, contrairement à une région rurale moins densément peuplée où le nombre d’équipements de télécommunication par rapport au nombre de compteurs est plus élevé. La nécessité d’ajouter ou de déplacer des routeurs ou des collecteurs pourrait donc survenir plus rapidement en région rurale qu’en région urbaine. De plus, si les obstacles naturels sont nombreux, un plus petit nombre de refus d’installation d’un compteur de nouvelle génération sera requis pour affecter la topologie du réseau IMA.

La concentration des clients qui refusent l’installation d’un compteur de nouvelle génération est également un facteur qui pourrait influencer la topologie du réseau. Plus les clients qui refusent l’installation d’un compteur de nouvelle génération sont concentrés géographiquement, plus la probabilité que la topologie doive être revue est grande. Néanmoins, à un niveau de refus allant de 1 % à 2 % réparti sur l’ensemble du territoire québécois, le fournisseur de l’IMA estime que l’impact sur la topologie du réseau serait minime et que l’ajout d’équipements ne serait pas requis

Source :
PREUVE COMPLÉMENTAIRE DU DISTRIBUTEUR – IMPACT DE L’INSTALLATION DE COMPTEURS N’ÉMETTANT PAS DE RADIOFRÉQUENCES SUR LE PROJET LA, page 9.

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